Résumé:
Médicine universitaire et DRGs

Diagnosis Related Groups (DRGs) catégorisent les traitements de patient dans des hôpitaux de soins aigus selon la sévérité. Ils s'ensuivent des catégories de coûts semblables. Néanmoins, les coûts moyens des hôpitaux universitaires sont couramment plus élevés comparés aux coûts des hôpitaux restants. Des questions se posent telles que :

• Les DRGs ne réussissent-ils pas de représenter les différences des prestations de façon suffisamment nuancée?
• A-t-il des coûts supplémentaires de la médicine universitaire justifiés qui ne devraient pas être remunérés par des forfaits par cas sur la base des DRGs?
• Ou est-ce que les prestations ne sont pas fournies efficientement?

L'Association des Hôpitaux Universitaires d'Allemagne (VUD) nous à mandatés par cette étude à fin de connaître les réglementations dans d'autres pays concernant les coûts supplémentaires de la médicine universitaire. On aux réglementations concernant le traitement de patient, en outre concernant la formation postgraduée médicale et les devoirs spéciaux de la médicine universitaire. On a demandé de faire des recherches en Autriche, en Grand Bretagne, aux Pays-Bas et aux États-Unis d'Amérique.

Les informations pages Internet publiques, à l'aide de demandes posées aux experts par courriel.

En guise de conclusion, on peut résumer qu'on accepte dans tous les quatre pays comme fait que la médicine universitaire produise des coûts supplémentaires. Les pays partagent également le problème à concevoir des rémunérations orientées vers les prestations. Des prestations plutôt facilement quantifiables (comme soins intensifs, passages aux urgences, médicaments et implantats chers), sont remboursés quelquefois axé sur les prestations dans le cadre du système national des DRG. Pour la rémunération des coûts de médicine universitaire restants, Il existent des motivations et des modes de payement differents:

• En Autriche, on rembourse les coûts par point LDF élevés à l'aide des facteurs sur le prix de base (LDF = Leistungsbezogene Diagnosen-Fallgruppen). En outre il y a quelques subsides pour couvrir des déficits.
• En Angleterre, on part du principe que des négotiations locales concernant des prix et des prestations restent nécessaires. Elles sont prévues de manière explicite dans le modèle PbR (Payments by Results).
  Au-delà il y a des suppléments ajoutés au prix de base pour quelques disciplines pour des traitements spécialisés (dont la plupart est traitée seulement dans des hôpitaux universitaires). On les a proposés au moyen des modèles économétriques et ajustés (élevés!) dans des débats politiques.
• Aux Pays-Bas, il y a des subsides pour les soins maximaux des hôpitaux universitaires et la possiblité de négotier une large gamme de prix (mais avec des prix maximaux définis).
• Aux États-Unis, on travaille avec des modèles économétriques. Les résultats qui sont liés à des hypothèses constituent les propositions dans les débats politiques. La rémunération est réalisée par des facteurs sur le prix de base.